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mardi 17 janvier 2023

ARTEMISIA ANNUA

 ARTEMISIA ANNUA


ARTEMISIA ANNUA

L'Artemisia prête à l'infusion
environ 4g/l
5 minutes dans l'eau frémissante.
Laisser infusé 15 minutes hors feu. 



Belle plante facile à faire pousser aux pouvoirs incroyables!
Pour ceux qui ont la chance de pouvoir s’en procurer, une simple infusion, 3 fois par jour, là aussi en alternance une semaine sur deux, ou en cure de trois semaines puis pause, apporte un effet global assez intéressant qui se traduit par une sorte de « bonne forme générale ».

Le 23 mai 1967, en pleine guerre du Vietnam, Ho Chi Minh, le chef des Viêt-Cong, mobilise 600 chercheurs pour trouver un traitement à la malaria, qui ravage la population.

Deux ans plus tard, l’un d’eux trouve… le Graal : l’Artemisia annua, une plante oubliée de la médecine orientale.

Elle tire son pouvoir de son principe actif, l’artémisinine.

Cela marche sur les troupes Viêt-Cong, dont le taux d’infection chute brutalement.

Aujourd’hui, 5 traitements de référence contre la malaria, l’amodiaquine, l’artéméther, luméfantrine, la méfloquine et la primaquine, ont pour base cette substance.

Sa re-découverte a même valu à la chercheuse chinoise Youyou Tu un prix Nobel de médecine !

Mais nos Autorités de Santé se contredisent : si l’OMS recommande l’artémisinine dans les médicaments, elle déconseille aux gens d’en faire des tisanes.

Les autorités de Madagascar en font les frais en avril 2020, lorsqu’ils promeuvent le CVO, une tisane antivirale à l’artémisinine, contre le Covid-19.

Le pays est la risée du monde entier. On montre à la télévision, pour en rire et soupirer, des militaires malgaches livrant des cartons entiers d’Artemisia Annua aux écoles.

Coïncidence ou pas, un an plus tard, ce pays compte seulement 861 morts pour 26 millions d’habitants, alors même que 40% de la population aurait été exposée au virus.

Validée par la science… Et combattue par les politiques

Les défenseurs de l’Artemisia Annua ont multiplié les études scientifiques :

  • En Allemagne, des chercheurs indiquent que 4 molécules de l’Artemisia empêcheraient le virus de pénétrer nos cellules ;
  • En Californie, on soutient que l’artémisinine évite la propagation du virus ;
  • Et en juillet dernier, une équipe affirme que l’Artemisia serait plus efficace que l’hydroxy-chloroquine pour traiter la COVID ;

Alors peut-être vous posez vous la question… « Est-ce que j'aurais du prendre de l’Artemisia Annua ? »

Le problème est que cette plante n’est pas disponible à la vente en France. Les autorités médicales nous mettent en garde : elle pourrait être « toxique » !

Cela trahit la méfiance de nos autorités vis-à-vis de toute solution naturelle… non vaccinale ! Pour elles c’est clair : seul le vaccin est valable !

Utilisation pour le cancer

un protocole qui semble cohérent avec 3 cycles d'environ 23 jours commençant par une courte prise d'extrait d'artemisia annua titré en artémisinine et 21 jours d'hydroxycitrate + R sodium lipoate, des conseils alimentaires qui n'empêchent pas de recourir à des soins classiques comme par exemple la radiothérapie

La Dictature qui voulait faire triompher la médecine traditionnelle

Nous sommes à Pékin en 1955.
 
Tu Youyou vient de terminer ses études de pharmacie. Passionnée de médecines traditionnelles, elle décide de compléter son cursus par une formation en Médecine Traditionnelle Chinoise.
 
Deux ans et quelques mois plus tard, doublement diplômée, elle devient professeur à l’Académie Chinoise de médecine traditionnelle.
 
A cette période, la Chine connaît une recrudescence des cas de paludisme. Le traitement « traditionnel » jusqu’ici utilisé, la chloroquine, a perdu de son efficacité.
 
Dans le même temps, les Vietnamiens du Nord, alors en pleine guerre contre les États-Unis subissent de plein fouet le fléau de la malaria (ou paludisme).

Leurs soldats meurent davantage sous les piqûres de moustiques que sous les balles américaines. Alliés aux Chinois, c’est vers eux qu’ils se tournent pour demander de l’aide.
 
En soutien à son voisin et allié, Mao décide donc, en 1967, de lancer un projet secret sous le nom « projet 523 » (nom de code lié à la date de lancement du projet, un 23 mai). Son objectif est simple : trouver un remède de la médecine traditionnelle chinoise contre le paludisme.
 
Idéalement, avant que les Américains n’en trouvent eux-mêmes un nouveau…

6 mois confinée pour trouver le remède

C’est Tu Youyou qui est choisie dès 1969 pour diriger ces recherches.

Pendant 6 mois, elle est presque confinée dans son laboratoire de la province de Hainan. Ses journées sont intégralement dédiées à sa recherche. Elle a laissé sa fille de 4 ans à Pékin et son mari est envoyé dans un camp de travail.
Tu Youyou, dans son laboratoire
 
Madame Tu se livre à un travail colossal : elle passe en revue plus de 2000 recettes de remèdes traditionnels et sélectionne 380 extraits de plante qu’elle teste sur des souris.

Parmi ces extraits, l’un d’entre eux semble montrer des résultats intéressants, c’est l’artémisinine, un des principes actifs de la plante Artemisia annua (armoise annuelle)
.
L'Artemisia annua peut atteindre 3 mètres de haut !
 
Mais Tu Youyou peine à établir une posologie efficace. Elle teste donc d’abord l’extrait sur elle-même. Et quand elle estime avoir obtenu des résultats stables, elle se décide à l’administrer à de vrais patients. 

Les résultats sont d’emblée là : en 30 heures, la fièvre des patients diminue et le nombre de parasites dans le nombre sang recule.

Tombée dans l’oubli pendant 50 ans

Depuis, l’artémisinine est passée dans la pharmacopée classique1 (médicaments ACT)… mais le nom de sa découvreuse, lui, est resté dans l’oubli.
 
Si bien qu’en 2005, lors d’un congrès sur la malaria en Chine, lorsque Louis Miller, chercheur américain sur le paludisme, demande à ses collègues chinois qui est à l’origine de cette découverte… personne n’est capable de répondre !
 
Il faudra plusieurs mois de recherches parmi des documents longtemps classés secret pour retrouver la trace de Tu Youyou… toujours affairée à ses recherches sur la fameuse plante dans son laboratoire de Pékin.
 
Dix ans plus tard, en 2015, elle obtient enfin le Prix Nobel pour sa découverte.
 
Mais l’histoire ne s’arrête pas là.
 
Alors que Tu Youyou s’apprêtait à recevoir le prix Nobel pour ses recherches sur l’artémisinine, on découvrait trois choses encore plus surprenantes :
  • La plante entière Artemisia annua (on dit aussi le « totum » de la plante) serait 3,5 fois plus efficace que des traitements à base d’artémisinine seule, pour aider à lutter contre le paludisme2,
  • Une autre plante de la même famille, Artemisia afra, aurait la même efficacité contre le paludisme… alors même qu’elle ne contient PAS le fameux principe actif l’artémisinine2,
  • L’huile essentielle d’Artemisia annua aurait des propriétés encore plus intéressantes que l’extrait de plante simple. Vous pouvez découvrir le pouvoir incroyable des huiles essentielles en cliquant ici

L’huile essentielle plus forte que ses dérivés chimiques

Plusieurs études ont déjà démontré les effets de l’huile essentielle d’Artemisia annua.
 
Une équipe de chercheurs français a notamment observé en 2002 qu’elle était capable d’inhiber le candida albicans
3.

Plus récemment, un article scientifique
4 passait en revue tous les bienfaits trouvés à cette huile essentielle depuis une dizaine d’années. Et ils sont nombreux.

Elle agirait contre :
  • la listeria,
  • la salmonelle,
  • la bactérie klebsiella,
  • le staphylocoque doré,
  • ou encore Aspergillus fumigatus, un champignon responsable de maladies nosocomiales mortelles chez les personnes immunodéprimées.
Il se pourrait même que cette huile essentielle ait des propriétés anticancer5… Mais sur ce sujet, les recherches manquent encore.
 
C’est grâce à Pascale Gélis-Imbert que j’ai découvert cette incroyable huile essentielle au profil prometteur.

Rappelons que le paludisme tue encore 500 000 personnes par an dans le monde
6. Et que bon nombre de nos lieux de destination de vacances nous exposent à ce risque…
 
Cette huile essentielle est pour moi un beau symbole du potentiel incroyable de l’aromathérapie.
 
 
Laurent des Éditions Nouvelle Page
 

Sources : 
1 https://www.who.int/malaria/areas/treatment/overview/fr/
2 J. Munyangi, L. Cornet-Vernet, M. Idumbo, C. Lu, P. Lutgen, "Artemisia annua and Artemisia afra tea infusions vs. artesunate-amodiaquine (ASAQ) in treating Plasmodium falciparum malaria in a large scale, double blind, randomized clinical trial" ; Phytomedicine : international journal of phytotherapy and phytopharmacology, ISSN: 1618-095X, Vol: 57, Page: 49-56 ; avril 2019
3 F. Juteau, V. Masotti, J.M. Bessière, M. Dherbomez, and J. Viano, "Antibacterial and antioxidant activities of Artemisia annua essential oil", Fitoterapia, vo. 73, no. 6, pp. 532-535, 2002
4 Bilia, Anna & Santomauro, Francesca & Sacco, Cristiana & Bergonzi, Maria & Donato, Rosa. (2014). "Essential Oil of Artemisia annua L.: An Extraordinary Component with Numerous Antimicrobial Properties". Evidence-based complementary and alternative medicine : eCAM. 2014. 159819. 10.1155/2014/159819.
5 T. Efferth, "From ancient herb to modern drug : Artemisia annua and artemisinin for cancer therapy", Seminars in cancer biology, Elsevier, October 2017
6 Inserm « Grandes tueuses : la paludisme »



mercredi 4 janvier 2023

SPOOKY PLASMA

 SPOOKY 2 PLASMA 


C'est la machine de RIFE développée pour le CANCER, mise à jour avec notre technologie d'aujourd'hui.


SPOOKY 2 PHANOTRON

Transmission par Plasma (tube phanotron ou tube droit) Ce mode de transmission nécessite un tube émetteur rempli d’un mélange de gaz rares à basse pression (un peu comme un tube au néon). Le signal utile pour le soin peut être accompagné de fréquences dites modulantes ou "porteuses" (en anglais : carrier), ou modifié par un crénelage (gate). Un plasma est une propagation "concertée" de particules et de champs qui comme une onde de type électromagnétique (genre onde radio) décroît rapidement en puissance avec la distance. Il faut donc rester à proximité de l'appareil pour bénéficier du soin, à moins d'un ou deux mètres. Pour le plasma de Spooky-Central, la distance doit être inférieure à 20 cm pour en profiter au maximum. La transmission par plasma est le mode initial utilisé par le docteur Rife. Ce mode de transmission est incompatible pour les porteurs de pacemakers ou les implants électroniques non compatible IRM.

SPOOKY 2 PHANOTRON

 Les fréquences sont délivrées par l'énergie plasmatique du PHANOTRON.
La longueur du champ est optimale à 2m de la personne. Elle est utilisable jusqu'à 9m (estimation fabricant).
 

Le SPOOKY CENTRAL permet de faire marcher le PHANOTRON. Celle ci demande plus de puissance que le système SCALAR.
Spooky2 Central est actuellement la machine Rife la plus puissante qui peut appliquer les fréquences d'origine de Royal Rife directement sans support. Il a été favorable parmi de nombreux utilisateurs en raison de son efficacité exceptionnelle pour cibler les conditions graves. Spooky2 Central contient quatre modes: Plasma, ultrasons, Pemf, et Contact.

Plasma
Le plasma est la seule machine qui peut transmettre des fréquences allant jusqu'à 3,5 MHz sans avoir besoin de fréquence fixe inutile et potentiellement nocive.
 
Plasma


En pratique, il faut absolument utiliser les câbles fournis car ils ont une protection en plomb pour les décharges électromagnétiques du PHANOTRON. 
Il faut toujours utiliser le PRESET spécifique au PLASMA dans les différents menus. 
Il faut orienter le PHANOTRON de telle façon que la partie inclinée dans le plasma soit face au corps de la personne en soin.
Il ne faudra jamais l'orienter face aux SPOOKY2 CENTRAL et le générateur

J'utilise le KILLING dans les PRESET pour les programmes comme l'angine (ANGINA) et la toux (CAUGH)

Les programmes fonctionnent mieux quand ils sont enregistrés dans le Générateur GX, ne BUG pas surtout !

Si l'ordinateur plante, le logiciel reste bloqué sur une fréquence. Il est impossible de l'utiliser. Il faut déconnecter le générateur puis le reconnecter afin que l'ordinateur rescanne l'appareil. Puis il redémarre le programme où il s'est arrêté.

ATTENTION 

Pour éviter d'endommager votre boitier plasma, il faut IMPERATIVEMENT respecter les consignes suivantes: 

o Avant de démarrer électriquement le boitier plasma, connectez toujours AVANT - les fiches hautes tensions à l'arrière de l’appareil. Ce sont les fiches qui alimentent votre Tube plasma droit ou Tube phanotron - le générateur Spooky2-XM ou Spooky2 GeneratorX 

o Pour le Spooky-Central uniquement, connectez toujours AVANT chacun des éléments que vous utiliserez pendant le soin (la bobine PEMF, le transducteur acoustique et les électrodes du mode contact). Si vous êtes certain de ne pas utiliser un ou plusieurs de ces éléments, vous pouvez ne pas le(s) brancher. Si vous changez d'avis et que tout compte fait, vous souhaitez utiliser un des éléments non connecté, ETEIGNEZ le Spooky-Central et alors seulement, connectez l'élément. 

o Ne déconnectez JAMAIS un élément lorsque boitier plasma est allumé. Il faut mettre l'interrupteur du boitier plasma sur OFF et ensuite seulement déconnecter l'élément. 

o L'interrupteur pour l'alimentation sur secteur du boitier plasma est situé à l'arrière de l'appareil. Lorsque le boitier est démarré l'interrupteur s'allume d'une couleur orangée et vous pouvez entendre un ventilateur. 

o Il est possible et fortement recommandé de paramétrer le logiciel pour indiquer quel générateur est connecté au le boitier plasma, ceci afin de protégé le matériel. Vous trouverez comment procéder en poursuivant la lecture. Réglage logiciel Afin de ne pas endommager le Plasma, il faut IMPERATIVEMENT que les 2 sorties OUT1 et OUT2 des générateurs Spooky2 fournissent une amplitude à 10 Volts avec uniquement la partie positive de la forme d’onde (équivalent 5 Volts avec 100% d’offset). Les sorties OUT1 et OUT2 seront respectivement connectées aux entrées Input et Modulation sur Spooky-Central. Il est recommandé de partir des préréglages contenus dans les collections "Plasma" de l'onglet Presets et de protéger électriquement le SpookyCentral en cliquant droit sur le bouton du générateur, comme décrit page suivante.

Le préréglage:

 "\Shell (Empty) Presets\Plasma\Spooky Plasma Entrainment and Healing (P) - JW" force une amplitude de 10 Volts et un Offset à 0% mais ne conserve que la partie positive du signal. 
Cela permet de respecter les contraintes matérielles du plasma, 5 Volts de tension positive aux sorties OUT1 et OUT2. Il est possible et recommandé d'indiquer au logiciel Spooky qu’un générateur est dédié au Spooky-Central en cliquant avec le bouton droit de la souris sur son bouton dans l'onglet Control (générateur à l’arrêt). 
Une fenêtre demande alors si votre Spooky-Central est toujours connecté au générateur (dans la capture, c'est le générateur 13 qui est concerné). Après avoir cliqué sur Oui, le générateur est identifié avec un texte en gras et la photo représentant le matériel dans l’onglet "Control" zone "Special Function" affiche un Spooky-Central. ou Par la suite, même en cas d’erreur dans les paramétrages (mauvaise amplitude ou offset), en cliquant sur ce générateur identifié pour Spooky-Central, les paramètres sont modifiés afin de ne pas endommager votre matériel. 
Si vous changez votre configuration et que le Spooky-Central n'est plus connecté sur le générateur qui lui était dédié auparavant, il suffit de cliquer avec le bouton droit de la souris sur ce générateur, et de répondre Non.

Par la suite, même en cas d’erreur dans les paramétrages (mauvaise amplitude ou offset), en cliquant sur ce générateur identifié pour Spooky-Central, les paramètres sont modifiés afin de ne pas endommager votre matériel. Si vous changez votre configuration et que le Spooky-Central n'est plus connecté sur le générateur qui lui était dédié auparavant, il suffit de cliquer avec le bouton droit de la souris sur ce générateur, et de répondre Non.

Remarques importantes 

- L'énergie dégagée par le plasma peut perturber votre ordinateur, à cause des émissions électromagnétiques (l'ordinateur risque de se figer, mais c'est normalement sans dommage). En fait, cela concerne tous les appareils électriques, et il est nécessaire d'éloigner autant que possible le boitier plasma de tout appareil, générateurs Spooky2, ordinateur, etc. 
Pour se prémunir de ce désagrément, nous vous recommandons d’utiliser des câbles USB filtrants pour la liaison entre l'ordinateur et les générateurs Spooky2. Ces câbles sont fournis lors de l’achat d’une solution plasma. 
- Garder les câbles blancs haute tension qui relient le boitier plasma au tube éloignés l'un de l'autre. Les câbles ne doivent pas se croiser non plus, ceci afin d'éviter que la puissance qu'ils véhiculent ne s'auto-perturbe et que le signal qu'ils transportent ne soit altéré (du fait des hautes tensions, ces câbles blancs émettent eux aussi un champ électromagnétique assez fort). 
- Pour favoriser l'ionisation du tube plasma (pour favoriser son éclairage), utilisez des formes d'ondes et des signaux avec modulation. 
- Le pourcentage de modulation du plasma est équivalent à 100 auquel est soustraite la modulation d'entrée. 
- Les tubes plasma requièrent une période de chauffe pour atteindre leur niveau de performance optimal. Pendant cette période, toutes les impuretés résiduelles dans le tube sont automatiquement neutralisées. 
- Utiliser les câbles "filtrants" fournis avec le plasma afin que les hautes fréquences ne remontent pas le long des câbles reliant l'ordinateur au générateur et le générateur au boitier amplificateur.


spooky central

 1 - Connectez votre générateur Spooky2 au secteur et démarrez -le électriquement. Branchez OUT1 sur Input, branchez OUT2 sur Modulation. Si le Spooky -Boost est connecté, utilisez les sorties OUT1 et OUT2 du mélangeur. N'utilisez pas les sorties MN, BN, HIGH PWR CONTACT ou COLLOIDAL SILVER. 

2 - Uniquement si vous souhaitez utiliser l'ultrasonic, pendant le soin, reliez le transducteur acoustique à son câble adaptateur court, puis branchez -le sur Utrasonic . 

Mode ultrasons plasma



3 - Uniquement si vous souhaitez utiliser le mode contact pendant le soin, connectez les électrodes cylindres (ou TENS) au câble TENS, puis branchez -le sur Contact . 

Mode contact plasma


4 - Uniquement si vous souhaitez utiliser la bobine pendant le soin, branchez son connecteur sur Coil . 

3 et 4 –Si vous n’utilisez aucun des 2 dispositifs, mettez l’interrupteur sur "Off", position haute. Si vous utilisez l’un ou l’autre, mettez -le sur "On", en position basse.
 
spooky CENTRAL et PLASMA


 5 - Connectez votre Tube plasma ou phanatron sur les connectiques hautes tensions à l'arrière de l’appareil. 

6 - Vérifiez que l'interrupteur est en position éteinte ("0" enfoncé, "1" relevé), puis branchez le câble d'alimentation à l'arrière du boitier plasma et connectez -le au secteur. 

7 - Reliez le générateur Spooky2 à votre ordinateur en utilisant un câble USB (câble USB filtrant ou non). 

8 - Démarrez le boitier plasma en actionnant l'interrupteur ("0" relevé, "1" enfoncé). Le témoin d'alimentation orange s'allumera.

Le Plasma 

Le plasma est créé en chauffant un gaz neutre ou en le soumettant à un champ électromagnétique puissant. Ce processus arrache des électrons aux atomes, créant un mélange d'ions chargés positivement et d'électrons chargés négativement.

Le plasma est la forme la plus abondante de matière ordinaire dans l'univers, représentant plus de 99 % de l'univers visible. Il se trouve dans les étoiles, les nébuleuses et le milieu interstellaire. Le plasma se trouve également dans des sources artificielles, telles que la foudre, les soudeurs à arc et les téléviseurs à plasma.

Le plasma a de nombreuses propriétés uniques. Il est très conducteur électriquement et peut être utilisé pour générer et amplifier les champs magnétiques. Le plasma est également très chaud et peut être utilisé pour couper, fondre et souder des matériaux.


mercredi 14 décembre 2022

Publication Médicale PUBMED Cancer et spooky2

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U.S. flag

Site officiel du gouvernement des États-Unis

 2023 Jan-Dec; 16 (1): 1324 x 1334. 
Publié en ligne 2023 7 novembre. doi:  10.1159/000534628
Pmcid: PMC10629860
Pmid: 37942404

Cancer du côlon métastatique - Un protocole de traitement efficace des thérapies intégratives, y compris les fréquences de champ électromagnétiques: un rapport de cas

Karin ried,corresponding author a , b , c Peter Eng, a , d et Taufiq binjemain a , e

Résumé

Introduction

Le cancer colorectal est le troisième cancer le plus fréquent au monde, avec 25% des patients diagnostiqués avec une maladie métastatique, principalement dans le foie, ce qui entraîne une mauvaise survie. Le traitement standard du cancer colorectal de stade IV consiste en une réservation de la tumeur primaire suivie d'une chimiothérapie.

Présentation de cas

Ici, nous rendons compte de l'efficacité du traitement en utilisant des thérapies intégratives chez un mâle de 52 ans avec un cancer du côlon métastatique et des lésions hépatiques pour atteindre une rémission partielle stable avec un niveau global de bien-être. Après l'élimination chirurgicale de la tumeur primaire, le régime de traitement intégratif de 8 mois consistait en un traitement anti-angiogénèse standard, ainsi que de multiples thérapies non standard mais fondées sur des données probantes, y compris des nutriments intraveineux à haute dose et des thérapies à base de plantes, une prise orale de médicaments réutilisés et des suppléments nutritionnels, et une thérapie par fréquence électromagnétique ciblée de 4 mois/Rife.

Conclusion

Les thérapies intégratives utilisées dans cette étude de cas étaient très tolérables et efficaces dans le traitement du cancer du côlon métastatique avec des lésions hépatiques, obtenant une réponse tumorale substantielle et une réssion partielle stable avec un niveau élevé de bien-être.

Mots-clés: Cancer du côlon métastatique, Rémission partielle, Thérapie intégrative, Thérapie de fréquence de champ électromagnétique, Rapport de cas

Introduction

Le cancer colorectal (CRC) ou le cancer de l'intestin est le troisième cancer le plus souvent diagnostiqué, avec environ 1,8 million de nouveaux cas dans le monde en 2018 et 15 700 cas en Australie en 2022 [Environ 25% des CRC sont au stade IV au diagnostic initial, avec une métastase se étant le plus fréquemment présent dans le foie [Le CRC est la deuxième cause de décès liés au cancer dans le monde [Le taux de survie relative à 5 ans pour le cancer de l'intestin de stade IV métastatique est faible, entre 10 et 15% [", et jusqu'à 30% chez les patients atteints d'une maladie métastatique résignable [].

Le traitement de première ligne pour le CRC de phase IV après la chirurgie de la tumeur primaire est la chimiothérapie avec FOLFOX (acide folinique, fluorouracil et oxaliplatine) ou CAPOX (capecitabine et oxaliplatine) [].Cependant, la rémission a été rare chez les patients atteints de la CRC de stade IV [].

Ici, nous décrivons un cas de rémission partielle du CRC métastatique dans les 8 mois en utilisant une approche de traitement intégrative avec les médicaments standard et les thérapies non standard. Après l'élimination chirurgicale de la tumeur primaire dans le côlon, le traitement intégratif comprenait une thérapie anti-angiogénèse standard, des thérapies intraveineuses à haute dose à base de plantes et à nutriments (IV), une combinaison de médicaments réutilisés et de suppléments nutritionnels, et de la thérapie par fréquence de domaine électromagnétique (EMF)/Rife. Le patient est resté en rémission partielle stable 6 mois après la fin du traitement, évidemment par une imagerie par résonance magnétique de suivi (IRM).

Rapport de cas

Un homme de 52 ans souffrant de douleurs abdominales sévères a été présenté à l'urgence en novembre 2021 après plusieurs jours d'augmentation des ballballons abdominales, de distension et de diarrhée intermittente. Le patient a eu des antécédents d'épisodes similaires au cours de l'année et demie; cependant, des enquêtes antérieures, y compris une coloscopie après un test sanguin fécal positif en décembre 2019, ont noté certains polypes mais n'ont trouvé aucune malignance. Au moment de l'admission à l'hôpital en novembre 2021, les résultats des tests sanguins du patient ont révélé une anémie hypochromique microcytique légère avec une hémoglobine cellulaire moyenne faible (MCH = 24 pg, fourchette de référence 2734 pg) et un faible volume de cellules moyen (MCV = 75 fL, intervalle de référence 80100 fL) et une protéine réactive élevée (CRP = 160 mg/L, intervalle de référence <1 mg/L), tandis que la gastroscopie est apparue normale.

Un scan tomographique calculé a montré une léum terminal distant épaissi et une obstruction de l'intestin de petit (Fig. 1En raison des symptômes graves du patient, une colonoscopie a été effectuée peu après et a trouvé une lésion apparemment maligne saillante de l'ilée terminal s'étendant dans le cécum, compatible avec le cancer. Des biopsies ont été prises et une pathologie a confirmé un cancer du côlon, en particulier un adénocarcycinome de faible qualité G1 résultant d'un adénome tubulovile avec une dysplasie de haute qualité. Le patient a subi une chirurgie de l'hémicolectomie par laparotomie, avec l'extraction des ganglions lymphatiques adjacents. Des adhésions malignes suggérées de la tumeur à la paroi abdominale et des tissus mous rétropéritoneaux ont été notées. L'implication de deux ganglions lymphatiques sur 20 a conduit au diagnostic initial d'adénocarcinome colonique T4bN1M0 de stade III résultant du cécum (21 novembre) (21 novembre) ()Tableau 1).

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Object name is cro-2023-0016-0001-534628_F01.jpg

Emplacement de la tumeur primaire présumée par imagerie tomographie calculée. La tumeur primaire colorectale du patient, surgissant dans le cecum (flèche rouge), une poche reliée à la jonction des petits et grands intestins, est apparue comme une obstruction de l'intestin petit (zone noire en cercle rouge) mesurant 5,17 cm de longueur (flèches vertes). La pathologie du tissu résulté a confirmé un adénocarcinocéronomme de faible qualité G1 avec une adhésion à la paroi abdominale et des tissus mous et l'implication de deux ganglions lymphatiques sur 20. La tumeur T4bN1 a été éliminée par une hémicolectomie droite.

Table 1.

Calendrier des antécédents du cancer du patient

CalendrierDateHistoire du cancer du patientCommentaires
Prédiagnostic sympptomatiqueDéc 2019Test sanguin fécal positifColonoscopie claire
Jul 2020 Oct 2021Plusieurs épisodes de douleurs abdominales intermittentes, vomissements, diarrhéeHospitalisé le 21 octobre
Diagnostic et chirurgie1er novembre 21Soufflage abdominal, distension, diarrhée intermittenteUndiscomfort de fosse iliaque droit hospitalisé en palpitation
6 novembre 21obstruction de l'intestinPar analyse CT: léléum terminal distant épaissi
Tests sanguins anormauxAnémie hypochromique microcyte Mild MCH = 24 pg (plage de référence 27 x 34 pg); MCV = 77 fL (plage de référence 80100 fL)
CRP légèrement élevé 5 mg/L le 6 novembre 21 passant à 160 mg/L le 18 novembre 21
11 novembre 21Diagnostic: lésion maligne saillant de l'éléum terminalBiopsie par la colonoscopie et pathologie
16 novembre 21ChirurgieHéicolectomie de la bonne par laparotomie
21 novembre: T4bN1M0 Adénocarcinonomme colonique de stade III; 22 février: Cancer du Colon métastatique; T4bN1 Stage-IV et lésions hépatiques multiplesGrande tumeur cécécécale décrite comme un adénocarcinonomme de faible qualité G1, des ganglions lymphatiques positifs 2/20; résultant d'un adénome tubuloville avec une dysplasie de haute qualité; adhésion à la paroi abdominale droite et rétropéritoneume
Immunohistochimie sur le tissu tumoral: maîtrise du MMR (réparation par inadéquation) dans MLH1, PMS2, MSH2 et MSH6
21 novembre 21Bien récupéré de la chirurgieRetour aux activités normales, manger, boire, les entrailles qui fonctionnent bien, abdomen doux, non tendre
21 décembrea été conseillé sur la chimiothérapie immédiate, déclinéChichimiothérapie suggérée: 6 mois FOLFOX ou 3 mois CAPOX
Tests d'oncénènes; test d'agents de chimiothérapie CTC (Onconomics Plus par RGCC)Mutations dans la famille de gènes RAS, y compris KRAS, HRAS, NRAS; réponse favorable à Bevacizumab
marqueur cancer CEA3,6 g/L (8/12/21); 1,6 (10/02/22); plage de référence <8,5 g/L
Diagnostic mis à jour 3 mois plus tard23 février 22Cancer du côlon métastatique; T4bN1 étape-IV et lésions hépatiques multiplesLe paludisme du PET repos a montré plusieurs lésions hépatiques (L1-L5); principalement sous-sulfulaires confinées au lobe droit. L1: jonction de 12 mm du segment 7 et 8; L2: 6 mm segment périphérique 8; L3: 6 mm de jonction du segment 5 et 6; L4: 9 mm postérieriedialy segment 6; L5: 8 mm, segment 6; nodules pulmonaires stables
21 décembre 22 septembreApproche de traitement intégrative discutée avec le Dr EngPhase de traitement a: 10 semaines, y compris IVC, curcumine IV, quercetine IV, artsunat, bevacizumab, protocole ReDO
Phase de traitement a: 4 mois21 décembreVit B12 injection x 1
21 décembre 22 septembreVitamine C 70Twice chaque semaine pendant 10 mois
22 janvier 22 septembreIV curcumine 33Une fois par semaine pendant 8 mois
22 janvier 22 septembreIV quercetin 33Une fois par semaine pendant 8 mois
22 avril 22 juin 22IV bevacizumabUne fois par semaine pendant 2 + 3 mois
22 avril 22 Sep 22IV artsunate 17Une fois par semaine pendant 5 mois
22 mars 22 juilletProtocole ReDOReDO = Repurposures en oncologie = combinaison de 16 + médicaments et nutriments (tableau 2, tableau S2)
Phase de traitement b: fréquence supplémentaire de l'EMF/Rife 4 mois22 mai 22 septembreTraitement de fréquence de Rife de l'EMF 40Étape de traitement 2: 2 x 3 x par semaine pendant 4 mois, fréquence de Rife en utilisant Spooky-2, programme côlon cancer + foie + système digestif + BX + bacillus X filter carcinome + XTRA (Tableau S1)
22 maiTest de dépistage du cancer (CTC)Pour évaluer l'efficacité du traitement de la fréquence Rife; avant Rife: 6,9 CTC/mL; Après Rife: 2,0 CTC/mL
Check-up13 juillet 22Check-up: PET scan négatifAucune preuve de maladie métaboliquement active, de récurrence ou de métastasis
22 juillet 22 juilletIRM (hépatie): réponse tumorale substantielle, 1 lésion visible restant -auparavant 5 lésions hépatiquesPar rapport à l'examen antérieur (21/3/22), 1 lésion visible dans la partie supérieure du segment 7 restant et réduit en diamètre à partir de L1: 12 x 9 mm; aucune autre lésion visible
Phase de traitement c22 aoûtHelixor - injection Mistletoe 4Une fois par semaine pendant 5 semaines
22 aoûtOxygénégégraphie 4Une fois par semaine pendant 1 mois
Suivi2 mars 23IRM (foie): maladie stableMaladie stable, une petite lésion résiduelle avec un composant cylindrique central très haut dans le lobe droit dans une position subdiaphragmatique, non agrandie. Aucune preuve de nouvelle maladie métastatique hépatique

CEA, antigène carcinoembryonique; CT, tomographie calculée; CTC, cellule tumorique circulante; CRP, protéine C-réactive; EMF, fréquence électromagnétique; MCH, hémoglobine moyenne; MCV, volume cellulaire moyen; IRM, imagerie par résonance magnétique; PET, tomographie par résonance de positron; RAS, oncogènes nommés d'après le Rat sarcoma; RGCC, centre de recherche génétique de cancer (https://rgcc-international.com/tests/onconomics-plus-rgcc).

L'immunohistochimie sur la tumeur biopsie a révélé une compétence dans les protéines de réparation de l'inadéquation, notamment MLH1, PMS2, MSH2 et MSH6. D'autres enquêtes utilisant des microarrays d'ADN transcriptomique ont identifié des mutations dans les proto-oncogènes, y compris KRAS, HRAS et NRAS. Les marqueurs de cancer du sang de l'antigène carcinoembryonique se situaient dans la fourchette normale (<8,5 g/L). L'immunocytémierie sur les cellules cancéreuses présentant des anticorps monoclonaux d'une gamme de 18 agents de chimiothérapie a identifié le bevacizumab comme l'agent le plus puissant dans ce cas (30% contre 15% ramucirumab contre 0% pour tous les autres agents testés; Onconomics Plus Test par RGCC, Suisse; https://rgcc-international.com/tests/onconomics-plus-rgcc/) (Tableau 1).

Le patient s'est bien rétabli avec un abdomen doux, est de retour aux activités et à l'alimentation habituelles, et avait des mouvements intestinaux normaux 1 semaine après la chirurgie. Le patient a été informé par son oncologue en décembre 2021 sur la chimiothérapie de suivi et la réservation ultérieure des métastases du foie. La chimiothérapie suggérée aurait impliqué FOLFOX pendant 6 mois ou 3 mois de CAPOX, mais le patient a diminué la chimiothérapie. À peu près au même temps, le patient a demandé conseil sur d'autres options de traitement et a discuté d'une approche de traitement intégrative (Tableau 1).

L'approche de traitement intégratif comprenait un ensemble de nutriments et d'herbes intraveineux tels que la vitamine C à forte dose, la curcumine, la quercetine et l'artérimisinine [], (b) traitement anti-angiogenèse par bevacizumab IV [], (c) le protocole Repurposposing-Drugs-in-Oncology (ReDO) combinant la prise orale quotidienne de 16 médicaments sur ordonnance réutilisés et nutriments et herbes [], et (d) EMF, traitement de la fréquence Rife []. Tables 1,22 et en ligne des tableaux supplémentaires S1-S2 (pour tous les documents en ligne supplémentaires, voir https://doi.org/10.1159/000534628).

Table 2.

régime de traitement

TraitementModeDoseFréquenceDuréeTotal number of treatments
IVC (ascorbate de sodium)Iv80 g2 hebdomadaire10 mois70
IV curcumineIv450 mg1 hebdomadaire8 mois33
IV quercetinIv500 mg1 hebdomadaire8 mois33
Artesunate IV (artémisinine)Iv250 mg1 hebdomadaire5 mois17
IV bevacizumabIv20 mg1 hebdomadaire20 semaines14
Helixor (Mistletoe)Injection1 x 30 mg1 hebdomadaire5 semaines4
Fréquence EMF/Rife par Spooky-2Fréquence EMF/RifeTableau S1 pour les fréquences1/2 par semaine4 mois40
Oxygène normobare par OxymedTube Nasal1 ATA, 5 L/min pendant 1 h1 hebdomadaire1 mois4
Le protocole REDO comprend (a) les médicaments sur ordonnance
phénylbutyrate de sodiumOrale1 x 4 g/nuitDaily4 mois120
DichloroacétateOrale500 mg x 2 en H20Daily4 mois120
MetforminOrale500 mg x 1; 500 mg x 2Daily2 x 2 semaines (wk 1 + 2; wk 3 + 4)28
Atorvastatine (+CoQ10 200 mg)Orale20 mg/nuit; 2 x 20 mgDaily2 x 2 semaines (wk 1 + 2; wk 3 + 4)28
DipyridamoleOrale2 x 100 mg/jour; 2 x 200 mgDaily4 mois120
MelatonineOrale4 x 6 x 60 mgDaily4 mois120
DoxycyclineOrale2 x 50 mgDailyMois 1 + 330 + 30
MebendazoleOrale2 x 100 mgDailyMois 2 + 430 + 30
FenbendazoleOrale2 x 110 mgDaily4 mois120
Loratadine (anti-histamine)Orale2 x 20 mgDaily4 mois120
b) Suppléments naturels à base de plantes
BerberineOrale2 x 500 mgDaily4 mois120
Huile de graines noiresOrale2 x 5 mLDaily4 mois120
Galate d'épigallocatechin (EGCG) = extrait de thé vertOrale2 x 400 mgDaily4 mois120
D-mannoseOrale2 x 1 000 mgDaily4 mois120
Citrate d'hydroxye (Garcinia cambogia)Orale2 x 1 000 mgDaily4 mois120
Huile d'Omega-3Orale2 x 1 000 mgDaily4 mois120
AspirineOrale100 mgDaily4 mois120

1 ATA, pression d'atmosphère = 101,325 kPA; bevacizumab, anticorps monoclonal = anti-angiogenèse; CoQ10, coenzyme Q10; EMF, fréquences de champ électromagnétique/Rife utilisée dans cette étude de cas dans le tableau S1; L/min, litres/min; mg, milligramme; mL, millilitre, wk, semaine.

Tableau 2 décrit les détails du traitement, y compris les doses, la fréquence, la durée et le nombre total de séances de traitement. Le tableau additionnel en ligne S1 énumère les fréquences du FEM utilisées dans cette étude de cas. Le tableau complémentaire en ligne S2 fournit des mécanismes d'action et des références pour les 17 médicaments et suppléments utilisés dans le protocole ReDO.

Les thérapies intégratives ont été fournies en deux étapes, avec la première étape de traitement de 16 semaines (décembre 2021 - mai 2022), y compris les thérapies IV et le protocole ReDO, tandis que la thérapie EMF a été ajoutée au régime de traitement à un stade ultérieur (décembre 2021 - mai 2022).Tableau 1Au cours de la première période de traitement, 3 mois après le diagnostic initial, le patient a subi un scan IRM de redémarrage, ce qui a révélé de nombreux (n = 5) métastases dans le foie, principalement sous-sulaire et confiné au lobe droit. Le diagnostic a été mis à jour pour le cancer du côlon métastatique T4bN1 étape-IV (23 février 2022) (23 février 2022) (Fig. 2 gauche, panneau/avant le traitement).

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Images IRM du foie avant et après le traitement. Panneau gauche (avant traitement): images IRM du foie du patient le 21 mars 2022. Cinq lésions ont été détectées avant le traitement, dont la lésion principale de 1, 12 mm (flèche rouge) et 4 lesions plus petites 2 x 5 (flèches blanches). Panneau droit (après traitement): images IRM le 22 juillet 2022. La leçon 1 réduit en taille 9 mm (flèche rouge) et les 4 lesions plus petites étaient plus visibles. A, antérieur (avant du patient); P, postérieur (arrière du patient); R, côté droit du patient; L, côté gauche du patient.

L'EMF, également connue sous le nom de thérapie par fréquence Rife ou de thérapie par champ électromagnétique pulsée, a été ajouté au régime de traitement après 4 mois de thérapies intégratives, pour cibler les lésions hépatiques métastatiques. La thérapie EMF a été fournie dans le cadre d'une étude de recherche (www.anzctr.org.au ACTRN12620000986976) à l'aide du générateur de fréquence Spooky-2 avec une ampoule plasma. L'EMF utilise des ondes de faible énergie dans le spectre de fréquence radio jusqu'à 5 MHz, et des fréquences ont été choisies dans la base de données Spooky-2 pour cibler le cancer du côlon, le cancer du foie et le cancer du système digestif (www.spooky2.com) (Fig. 3 et tableau supplémentaire en ligne S1).

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Dispositif de fréquence EMF-Rife Spooky-2 avec ampoule plasma maintenue par le patient pendant le traitement. Plage de fréquence: 0 x 5 MHz (MHz = 106 Hz); les spécifications de l'appareil à www.spooky2.com.

Pour évaluer l'effet de traitement de l'EMF, nous avons utilisé le test sanguin de la cellule tumorale circulante (CTC), également connu sous le nom de biopsie liquide, pour comparer le nombre de CTC avant et après le traitement de la fréquence EMF/Rife. Nous avons spécifiquement utilisé le système ISET (Isolation par SizE de Tumour) basé sur la cytologie (Isolation par SizE de Tumour)-CTC développé par Rarecells Diagnostics (www.rarecells.comLes CTC sont des biomarqueurs utiles pour évaluer le risque et le stade du cancer, avec un nombre plus élevé de CTC indiquant un risque plus élevé d'ensemencement de autres métastases éloignés de la tumeur primaire [].

Dans cette étude de cas, le nombre de CTC dans un échantillon de 10 ml de sang pris immédiatement avant le traitement de Rife a été comparé au nombre de CTC 1 jour après le traitement de Rife. L'analyse du CTC a révélé que les fréquences utilisées pour le traitement des FEM étaient efficaces pour réduire le nombre de CTC de 75% et donc le potentiel de métastastasisation. Par la suite, la thérapie par fréquence EMF/Rife a été incluse dans le régime de traitement, et le patient a reçu 2 x 3 traitements par fréquence Rife par semaine au cours des 4 prochains mois à un total de 40 sessions.

Rémission partielle

Un contrôle a été effectué en juillet 2022, après 8 mois de thérapies intégratives et comprenant quatre mois de traitement de fréquence EMF/Rife après le diagnostic mis à jour du cancer du côlon métastatique T4bN1 étape-IV (23 février 2022), et a révélé une réponse tumorale substantielle au traitement. Alors que cinq lésions de 6 x 12 mm dans le foie étaient visibles sur l'IRM le 23 février 2022, l'IRM de suivi le 22 juillet 2022 n'a montré qu'une seule lésion visible restante de taille réduite (12 mm > 9 mm) dans le segment 7 du foie. Figure 2 illustre des analyses comparatives d'IRM du foie au moment du diagnostic avant et après le traitement. En outre, un scan de tomographie des émissions de positron n'a fourni aucune preuve de récidive ou de métastase des maladies métaboliquement active.

Les thérapies intégratives ont continué jusqu'en septembre 2022, plus des injections hebdomadaires supplémentaires avec le mistletoe (Helixor) et le traitement par oxygène normobarie pendant un mois (5 L/min pendant 1 h) (Tableau 2Un faible nombre de CTC en octobre 2022, 11 mois après le diagnostic initial, a soutenu les résultats d'une réponse tumorale substantielle au traitement. Le patient tolérait bien les thérapies intégratives, n'a pas ressenti d'effets néfastes du régime de traitement intégratif et a bénéficié d'un niveau global de bien-être sans restrictions dans les activités sociales ou physiques.

La réssion partielle du cancer du côlon métastatique avec des lésions hépatiques obtenues par la réservation de la tumeur primaire et un régime de traitement de 8 mois de thérapies intégratives est resté stable un demi-an plus tard (mars 2023), en évidence par un scan IRM de suivi du foie, suggérant un effet de traitement à long terme. La liste de contrôle du CARE a été complétée par les auteurs pour ce rapport de cas, jointe en tant que matériel supplémentaire en ligne.

Discussion

Dans cette étude de cas d'un patient masculin de 52 ans avec un CRC métastatique, nous fournissons des preuves d'un traitement efficace des lésions hépatiques métastatiques, en utilisant une combinaison de thérapies intégratives. Après la réservation de la tumeur colorectale principale, le patient a été informé de la chimiothérapie et de la réservation du foie ultérieure, mais a refusé. Les thérapies standard actuelles pour les CRC métastatiques non résignables ne sont pas considérées comme curables, en particulier si elles proviennent du cecum, et la rémission est rarement observée [].

Dans ce cas, le régime de traitement intégratif consistait en un traitement anti-angiogenèse standard et de plusieurs thérapies non standard mais fondées sur des données probantes, y compris les thérapies à forte dose IV, les traitements de médicaments et de suppléments nutritionnels, et la thérapie ciblée EMF. Le seul traitement standard utilisé dans cette étude de cas était une thérapie anti-angiogenèse IV, bevacizumab, qui a été prometteuse, en particulier, dans le traitement de la CRC, indépendamment de l'état protéique de réparation d'une mauvaise qualité [].

Il est important de noter que le bevacizumab était l'une des 26 thérapies utilisées dans cette étude; par conséquent, il est impossible de déterminer dans quelle mesure le traitement anti-angiogenèse a contribué au résultat du patient. La thérapie standard du cancer du côlon métastatique combine généralement le bevacizumab avec des agents de chimiothérapie standard, ce qui entraîne une survie favorable sans progression par rapport à l'observation seulement, mais pas de différence appréciable dans la survie globale [Dans cette étude de cas, nous rendons compte de l'approche de traitement intégratif combinant le bevacizumab avec 25 thérapies non standard mais fondées sur des données probantes.

Ces thérapies non standard mais fondées sur des données probantes comprenaient une thérapie à haute dose de vitamine C IV, qui s'est avérée prometteuse dans le traitement du cancer []. La vitamine C à haute dose (30 x 100 g) donne des concentrations plasmatiques élevées de 1315 mm (10−3 Mol) par rapport à seulement 220 m (10)−6 Mol) par apport oral tolérable de 3 x 4 g de vitamine C. Les concentrations plasmatiques élevées obtenues par traitement à forte dose-IVC génèrent du peroxyde d'hydrogène cytotoxique, qui peut être métabolisé dans les cellules normales par l'enzyme catalase, mais pas par la catalase, qui manque de cellules malignes, conduisant à la mort cellulaire des cellules cancéreuses [].

D'autres thérapies comprenaient des injections d'intra-artémidine et de mistletoe, qui sont considérées comme des immunothérapies efficaces alternatives, ainsi que des extraits de la curcumine IV et d'autres extraits végétaux, qui ont montré des effets anti-cancer prometteurs, tels que l'inhibition de la prolifération et de l'invasion des cellules cancéreuses, ainsi que l'induction d'apoptose cellulaire [En outre, le régime de traitement comprenait le protocole ReDO, qui consistait en une combinaison de 16 médicaments réutilisés et suppléments à base de plantes administrés séquentiellement qui présentent des preuves d'effets anti-cancer, tels que l'inhibition des voies d'énergie métabolique et l'induction d'apoptose cellulaire cancéreuse [].

En outre, au moment du diagnostic redémarré des lésions hépatiques métastatiques, la thérapie par radiofréquence EMF spécifique aux tumeurs a été administrée deux fois par semaine pendant quatre mois. Le traitement des FEM a fourni des résultats prometteurs dans un certain nombre d"études cliniques et précliniques, dans lesquelles le traitement des FEM appliqué quotidiennement pendant plusieurs mois a obtenu une rémission complète ou partielle et une meilleure survie des patients atteints de cancer [Plusieurs mécanismes d'action proposés concernant la façon dont le traitement par l'EMF pourrait inhiber la croissance du cancer comprennent des voies directes par la perturbation de la division cellulaire, la modulation de l'expression des gènes et de la synthèse des protéines, la suppression de la vascularisation tumorale et les voies indirectes par des effets immune-modulatoires, par exemple, l'augmentation de l'apoptose cellulaire promouvant le TNF-alpha [Ces mécanismes d'action étudiés dans les études in vitro précliniques sont étayés par des études cliniques, qui ont montré un taux de croissance des tumeurs plus lent chez les participants traités par le FEM par rapport aux groupes de contrôle non traités [En résumé, le patient a bien toléré la combinaison de traitements intégratifs tout en maintenant un niveau élevé de bien-être, qui comprenait une activité physique régulière, comme le tennis, avec un résultat global remarquable d'une rémission stable partielle.

Conclusion

Un protocole de 8 mois de thérapies intégratives était très tolérable et efficace dans le traitement d'un homme de 52 ans avec un cancer du côlon métastatique et des lésions hépatiques, ce qui a obtenu une réponse tumorale substantielle et une réssion partielle. Il est important de noter que la réponse était durable, avec une maladie stable maintenue comme confirmée lors de l'imagerie 6 mois après l'achèvement du traitement, permettant un niveau élevé de bien-être. Le régime de traitement intégratif combinait un traitement anti-angiogénèse standard et des thérapies non standard mais fondées sur des données probantes, y compris les thérapies à forte dose IV, les traitements de médicaments et de suppléments nutritionnels, et 4 mois de traitement ciblé par fréquence EMF/Rife.

Nous reconnaissons qu'il n'était pas dans le cadre de cette étude de cas de déterminer l'impact des thérapies individuelles ou tout effet synergique sur le résultat global. En outre, la généralisabilité des résultats est limitée, car ce rapport est basé sur un seul cas. Toutefois, une grande tolérance des traitements et un succès dans la réalisation d'une rémission partielle stable dans ce cas justifient de nouvelles recherches.

Reconnaissance

Nous notons le Dr Peter Eng (auteur P.E.) comme médecin de conseil et de traitement du patient dans cette étude de cas. Nous sommes reconnaissants au Dr Nicholas Gelber, directeur adjoint de l'imagerie médicale et de la radiologie à l'hôpital Cabrini de Melbourne, d'avoir examiné les images IRM et CT avant et après le traitement. Nous sommes endettés à Joy Chu qui a aidé à la collation des images IRM et CT.

Déclaration d'éthique

La thérapie par fréquence de champ électromagnétique (EMF)/Rife a été appliquée dans le cadre d'une étude, qui a évalué l'efficacité du traitement du traitement par le cancer par l'analyse des tests sanguins de la cellule tumorale circulante (CTC). Ce protocole d'étude a été examiné et approuvé par le Comité national d'éthique de la recherche humaine (NIIM), numéro d'approbation 0040N_2017. L'essai de recherche est enregistré auprès du Registre d'essais cliniques d'Australie et de Nouvelle-Zélande (http://anzctr.org.au; numéro d'essai ACTRN12620000986976). Le consentement écrit en connaissance de cause a été obtenu du patient pour la publication de ce rapport de cas et de toute image d'accompagnement.

Déclaration sur les conflits d' intérêts

Les auteurs n'ont aucun conflit d'intérêts à déclarer.

Déclaration de disponibilité des données

Toutes les données générées ou analysées au cours de cette étude sont incluses dans cet article et son matériel complémentaire en ligne. D'autres demandes peuvent être adressées à l'auteur correspondant.

Matériel supplémentaire

Matériel supplémentaire

Matériel supplémentaire

Références

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Articles from Case Reports in Oncology are provided here courtesy of Karger Publishers